Comment la voiture de société s'intègre-t-elle dans le budget mobilité ?

Lors de notre dernier webinaire avec Lizy, nous avons discuté de la possibilité d'intégrer une voiture dans le pilier 1 du budget de mobilité avec Liesbeth, experte RH Liesbeth chez Transmare Chemie. Elle a partagé son expérience avec Mbrella et Lizy. Choix, politique et tranquillité d'esprit.

De flotte traditionnelle à politique mobilité flexible

Jusqu'à récemment, la politique de mobilité de nombreuses entreprises belges tournait principalement autour de voitures de leasing classiques, de cartes carburant et de frais de stationnement. Mais la combinaison des objectifs climatiques, de la fiscalité et de l'évolution des attentes des employés oblige les entreprises à repenser leur approche.

« Auparavant, nous avions une politique de parc automobile classique avec leasing et assurances », explique Liesbeth, responsable RH chez Transmare Chemie. « Mais l'impact sur notre trésorerie et notre empreinte CO₂ était important. C'est pourquoi nous avons délibérément choisi de limiter le nombre de véhicules en propre et d'introduire le budget mobilité. »

Le budget mobilité permet aux employés de dépenser leur budget voiture de société de manière flexible, réparti sur trois piliers :

• Pilier 1 : une voiture de société respectueuse de l'environnement (obligatoirement électrique à partir de 2026)
• Pilier 2 : mobilité durable (vélo, transports en commun, mobilité partagée, etc.)
• Pilier 3 : indemnité en espèces pour les frais de logement ou les loisirs durables

Pour les employeurs, cela signifie : plus de liberté de choix pour les employés, mais aussi une administration plus complexe. Et c'est précisément là qu'interviennent des outils comme Mbrella (logiciel de gestion des budgets mobilité) et Lizy (partenaire de leasing).

Pourquoi la combinaison Mbrella et Lizy fonctionne

Transmare Chemie a délibérément opté pour une approche tripartite : employeur, Mbrella et Lizy. Cela garantit une intégration fluide des systèmes, permettant aux RH et aux employés de bénéficier d'un traitement automatisé des calculs TCO et des justificatifs. Ainsi, les RH n'ont plus besoin de vérifier manuellement les reçus et les employés peuvent visualiser directement leur budget et leurs choix.

Selon Liesbeth :

« Les principaux avantages pour nous sont la tranquillité d'esprit, la flexibilité et la liberté de choix pour l'employé. »

Grâce à cette collaboration, les contrats de leasing peuvent être facilement gérés via le budget mobilité, tandis que l'entreprise applique des lignes directrices politiques claires. Cela rend le processus transparent, conforme et clair, sans charge administrative supplémentaire pour les RH.

Les avantages pour les RH et les employés : choix, bien-être et marque employeur

Le budget mobilité s'inscrit parfaitement dans une « culture de la carte-menu », comme l'appelle Liesbeth.

« Les gens veulent aujourd'hui du choix, tant sur le plan privé que professionnel. Avec le budget mobilité, les employés peuvent décider eux-mêmes comment ils se déplacent ou dépensent leur budget. Cela génère plus de satisfaction et moins de stress. »

Pour Transmare Chemie, la mise en place du budget mobilité représentait plus qu'une optimisation financière : c'est un atout pour la marque employeur :

« Les candidats posent des questions à ce sujet. Tout comme l'assurance hospitalisation, il devient presque évident qu'un employeur propose un budget mobilité. »

Les résultats parlent d'eux-mêmes :

• Satisfaction accrue des employés, en particulier parmi les jeunes employés qui optent plus souvent pour des alternatives durables.
• Neutralité des coûts pour l'employeur, grâce au budget fixe par employé.
• Charge administrative réduite grâce à l'intégration entre le partenaire de leasing et l'outil de mobilité.
• Lignes directrices politiques claires : pilier 1 uniquement pour la direction, pilier 2 ouvert à tous.

Conseils pour les responsables RH et Fleet qui souhaitent se lancer

Votre organisation souhaite-t-elle également se lancer dans le budget mobilité et les voitures de société (pilier 1) ?

Ces conseils pratiques sont revenus fréquemment lors du webinaire :

1. 🧭 Cartographiez les besoins de mobilité de vos collaborateurs : Recherchez d'abord comment les gens se déplacent actuellement et quelles sont leurs attentes.
2. 📘 Élaborez une politique automobile et de mobilité claire : Définissez par catégorie de fonction ce qui est possible ou non. La transparence évite les discussions.
3. ⚙️ Automatisez autant que possible : Utilisez des outils intégrés comme Mbrella et Lizy pour le calcul du TCO, la gestion des justificatifs et le reporting.
4. 💬 Communiquez clairement : Impliquez les employés dans le processus et expliquez comment fonctionnent le calcul et la répartition du budget.
5. 🔋 Préparez-vous pour 2026 : À partir de cette date, seules les voitures électriques seront autorisées dans le pilier 1. Commencez la transition dès maintenant.

Conclusion : de la complexité à la tranquillité d'esprit

Le budget mobilité est souvent perçu comme complexe, mais des entreprises comme Transmare Chemie prouvent le contraire.

« Pour nous, c'est réalisable », déclare Liesbeth. « Il offre de la flexibilité, de la tranquillité d'esprit et des employés satisfaits. Nous ne voyons plus le budget mobilité disparaître de notre politique. »

La voiture de société ne disparaît pas, mais elle évolue. Dans le budget mobilité, elle trouve une nouvelle place : comme choix durable au sein d'une politique RH flexible et tournée vers l'avenir.

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